Le socialisme de tradition française, entre révolution et contre-révolution

Je vous propose ci-dessous la captation audio de cette causerie, prononcée dans une charmante auberge strasbourgeoise dans un contexte un peu particulier puisqu’on y trouvait à la fois des auditeurs venus expressément pour m’écouter ainsi que des gens qui étaient seulement venus pour manger et qui n’avaient rien demandé à personne… Merci aux premiers pour leur intérêt et aux seconds pour leur patience ! Et merci aux organisateurs pour leur invitation et pour leur accueil chaleureux.

La soirée s’est conclue par un bon repas à l’auberge. Puis comme elle n’était pas vraiment conclue elle s’est poursuivie par la dégustation de quelques verres de couetche (leur prune locale) et d’eau de vie de framboise, dans un bistrot où nous avons gaillardement entonné La Strasbourgeoise. Puis, comme la conclusion se faisait toujours attendre, nous sommes tous montés à bord d’automobiles et avons roulé jusqu’à la proche frontière allemande, dans la petite ville de Kehl, où les toasts et les chants se sont succédé jusqu’au petit matin. Ils savent vivre, ces Alsaciens !

Puisque nous parlons de conférences, j’en profite pour vous renvoyer à celle que mon ami Raphaël Pomey a consacrée à la généalogie du wokisme et qui est disponible elle aussi sur la plateforme Partager. Vous pouvez l’écouter ici. Je vous encourage à découvrir ses infolettres En enfer il y a et, si le ton vous plait, à vous y abonner. Merci pour votre soutien : c’est en vous abonnant à nos médias que vous nous permettez de continuer à écrire pour vous semaine après semaine !