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17 octobre 2023 4 minutes de lecture

Les futures sage-femmes passent à la moulinette du dégenrage #exclu

Une étudiante de la Haute École de Santé Vaud (HESAV) tire la sonnette d’alarme face à de nouvelles recommandations troublantes.

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Utiliser « personne enceinte » plutôt que « future mère ». « Naissance le » plutôt que « né » ou « née le ». « Homme enceint » si la personne, fatalement dotée de chromosomes XX, se perçoit comme telle...

Voici quelques recommandations données à la rentrée qui ont fortement troublé une étudiante de la filière sage-femme de l'HESAV, à Lausanne. Soucieuse de garder l’anonymat pour ne pas péjorer sa formation, la jeune femme s’en est ouverte auprès d’une de ses amies, mère de famille. Transformée en ambassadrice, cette dernière a fait suivre son témoignage au secrétariat de l’UDC Vaud.

Le wokisme sévit aussi sur le compte Facebook de la Haute École.

Comment, en effet, s’assurer que la future professionnelle de la santé, dans la rédaction de son mémoire, ne soit pas obligée de courber l’échine devant toutes les modes du moment ? « Ce qui m'ennuie est que la direction a demandé aux élèves de rédiger tous leurs devoirs en utilisant l'écriture inclusive, ce qui, rapporté au domaine d'étude (ndlr l'accouchement), me laisse perplexe », admet la confidente. Et de poursuivre : « Le message était que ce n'est pas une obligation, car c'est la première année que l'école met ça en place, donc ils disent qu'ils seront indulgents là-dessus mais ils l'encouragent très fortement. » Selon le témoignage de sa jeune amie, il faudra carrément renoncer aux termes hommes ou femmes dans le mémoire, au profit du pronom « iel ».

De simples « recommandations »

Exagération à des fins de propagande ? Mauvaise compréhension ? Nous avons posé la question à la directrice de l'HESAV, Carole Wyser.

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Lancé il y a 1 an

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